Découvrez le portrait de Linda, Consultante Innovation chez GAC Group : son parcours, son métier et sa vision du cabinet.
À travers cette vidéo, elle y partage ses goûts et sa bonne humeur ! Rejoignez-nous !
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Les entreprises les plus performantes ne sont pas celles qui dépensent le plus en R&D. Ce sont celles qui alignent leur stratégie business et leurs capacités d’innovation !
Pour aligner capacités d’innovation et stratégie, poser le bon diagnostic est crucial.
Jeudi 13 Juin à 11h30, nous vous présenterons lors d’un webinar, un nouvel outil de diagnostic que nous lançons en France.
Il est déjà utilisé par de nombreuses sociétés dans le monde pour améliorer l’efficience de leur processus d’innovation (Spotify, Astra Zeneka…).
Synthétisant les recherches des plus grandes universités de management (Harvard, Insead, MIT…), l’outil a nécessité 10 ans de développement !
C’est actuellement l’outil de diagnostic innovation le plus puissant du marché.
Grâce à l’utilisation des technologies les plus récentes d’intelligence artificielle et à la plus grande base mondiale de données sur les entreprises innovantes, ce diagnostic va vous apporter :
Ce webinar vous permettra de comprendre concrètement comment aligner votre stratégie business et vos capacités d’innovation.
Thierry Bernicard
Consultant Innovation |
François Ollivaux Manager Innovation – GAC Group |
> Jeudi 13 juin 2019 à 11h30
> Vous recevrez le lien de connexion au webinar quelques jours avant.
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Les entreprises qui innovent le mieux ne sont pas celles qui dépensent le plus en R&D, mais celles qui sont capables de co-innover, “de faire de l’innovation ouverte”. Ne parier que sur sa R&D interne, c’est passer à côté d’énormes sources d’innovation, et donc de revenu.
L’innovation peut et doit émaner de tous et être facilement accessible. Les entreprises ne devraient plus se passer de co-création. En effet, les personnes les plus créatives sont souvent celles que l’on ne soupçonne pas !
Il faut pouvoir manager ses équipes de façon à en tirer la quintessence. Faire en sorte que des services sans lien direct communiquent et se challenge positivement pour créer.
Désormais, l’accès aux idées les plus créatives est disponible en quelques clics et à moindre coût. Les plateformes d’innovation collaboratives ont prouvé leur efficacité. Il est impossible d’être parmi les leaders de son domaine sans les utiliser. Leurs objectifs sont de vous suggérer des axes d’amélioration sur des projets innovants que vous souhaiteriez mener et de vous proposer des compétences en fonction.
Plus le domaine technologique / scientifique de votre problème s’éloigne de votre zone de confort, plus votre problème a de chances d’être résolu !
Quelques exemples de plateformes :
D’autres plateformes vont encore plus loin et vous permettent de solutionner un problème grâce à l’IA afin d’automatiser la réflexion.
Aujourd’hui, votre entreprise est au cœur d’un formidable écosystème qui augmente considérablement vos capacités à innover de manière compétitive.
Si vous l’utilisez correctement, vous ne devez plus craindre la disruption de votre marché et au contraire, en être le moteur !
Les possibilités pour vous permettre d’innover sont incroyables mais cela n’a de sens que si vos intentions sont bonnes et si que vous portez une attention particulière à la compréhension des problèmes et à l’amélioration des usages de vos consommateurs.
Enfin, rien ne sera vertueux sans une bonne stratégie alignée à un bon management de vos innovations. Pour découvrir quelle stratégie de management de l’innovation est la plus adaptée à votre profil et vos objectifs, découvrez très bientôt un livre blanc dédié sur ce sujet.
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Cet article a été rédigé suite à notre workshop innovation du 21 mars dernier, avec
La semaine dernière se tenait Vivatech, le salon mondial de l’innovation qui a réuni plus de 13 000 startups venant de 125 pays différents et plus de 124 000 visiteurs (+ 24 % depuis 2018).
Pour cette 4ème année, plusieurs thèmes ont été mis à l’honneur :
Voici la synthèse de ce qui a marqué l’attention des consultants en innovation de GAC Group.
« Il y a encore 5 à 10 ans, ces groupes innovaient en interne. Ils n’avaient pas l’habitude de travailler avec des startups. Aujourd’hui, tout a changé », a souligné Emmanuel Macron lors de sa visite.
Le Président de la République avait fait le déplacement pour inaugurer le salon et rappeler l’objectif « Tech for Good » dans lequel les géants du numérique sont appelés à s’engager autour de leurs responsabilités sociales.
Plus que jamais, les synergies avec les grands groupes se développent. Plusieurs entreprises du CAC 40 ou des leaders de la tech mondiale ont ainsi sponsorisé le salon (BNP, LVMH, L’Oréal, SNCF, Thales, Valeo, Google, Amazon Web Service, Huawei…).
PooC commun, prise de capital… Il reste encore du chemin à parcourir mais l’open innovation est enfin reconnue comme indispensable pour innover durablement et plus rapidement.
Difficile de faire face aux déchets plastiques qui détruisent l’environnement et polluent notre espace de vie.
L’innovation est là aujourd’hui pour faire face à ces problèmes environnementaux et propose des solutions pratiques et ambitieuses pour diminuer l’impact du plastique sur la terre, changer notre mode de consommation et le système de recyclage.
Attention néanmoins, comme le précise Vianney Vaute, cofondateur de Back Market, la plate-forme de vente d’appareils reconditionnés :
« Il faut se méfier de la pensée magique que la tech va résoudre tous nos problèmes, il est indispensable de regarder les impacts sociaux et environnementaux de nos innovations, au-delà de leur finalité »
Suite à l’entrée en vigueur il y a un an du RGPD, cette édition résonne comme date d’anniversaire pour rappeler aux acteurs présents que la conformité est l’affaire de tous et qu’il est indispensable d’innover dans le respect de la vie privée de ses clients.
Jack Ma (le fondateur d’Alibaba) a répondu aux questions de Maurice Levy (ex CEO de Publicis) et a fait part de quelques conseils pragmatiques pour innover, à commencer par l’audace et l’humilité :
« Je veux encourager les gens à regarder le futur, à l’embrasser avec confiance, les machines n’ont pas de rêve, les êtres humains, oui ! On a besoin de rêves pour construire le futur. En tant que dirigeant, vous vous préoccupez de votre équipe et elle se préoccupe des clients. C’est ce que je dis à mes équipes : ne vous préoccupez pas de moi mais de vos clients ! »
[GAC’UP NANTES] Vous êtes une start-up innovante, localisée dans la région nantaise et vous avez envie d’accélérer votre projet ? Alors, n’attendez plus pour faire partie de la prochaine promotion de notre accélérateur !
Candidatures ouvertes jusqu’au 5 juin ! 🚀 Rejoignez-nous !
Les entreprises qui cherchent à faire de l’innovation de rupture trop rapidement s’embarquent dans des créations techniques se basant sur des croyances, alors qu’elles n’ont que vaguement idée des véritables usages attendus par leur cible.
Disruption de tous les marchés et défiance envers les marques : rechercher de nouveaux leviers de croissance est désormais un impératif pour gagner en performance et compétitivité. Quelle que soit votre taille de société, vous devez être les premiers à innover sur votre marché et il vous faut y parvenir de manière la plus rapide et rentable possible.
« Le problème aujourd’hui n’est pas l’énergie atomique, mais le cœur des hommes » (Albert Einstein)
Nous vivons dans un monde ou la défiance envers les marques est augmentée. Tout est marketing, tout est calculé, anticipé et millimétré grâce à de puissants algorithmes prédictifs. Nous vivons aussi dans une période d’ultra disruption de tout. Les entreprises devant innover pour survivre, cela donne trop souvent lieu à des nouveautés sur le plan marketing mais qui au niveau des usages n’ont que peu d’intérêt.
L’Aqua Tube de Lotus , « le premier rouleau de papier toilette biodégradable, la solution miracle pour laquelle on se dispute pour le jeter… », en est le parfait exemple. Ce rouleau encrasse les canalisations et souille les usines de traitement de l’eau. Sommes-nous arrivés à un point où il apparaît trop dur pour l’homme de jeter son rouleau dans sa poubelle jaune ?
Heureusement, la majorité des entrepreneurs (notamment les nouvelles générations) souhaitent à nouveau créer des services qui viennent véritablement aider le consommateur face à des marchés établis, où des acteurs historiques abusent de leurs assises (la téléphonie, les taxis, les hôtels, les restaurants…).
L’histoire d’Airbnb en est un bel exemple. En 2007, suite à leur emménagement à San Francisco, deux jeunes designers remarquent que pendant le plus gros congrès de Design américain, les chambres d’hôtel ont été réservées à des tarifs exorbitants. Ils ont alors l’idée de louer une chambre de leur appartement, avec matelas gonflable et petit déjeuner. Depuis, la société a explosé en termes de taille et de CA (« première grande licorne à devenir rentable »). Néanmoins, elle ne cesse de se remettre en question, d’A/B tester ses process avec toujours pour volonté de créer la meilleur expérience client.
Enfin, l’innovation durable (innovation + développement durable) est un défi majeur actuel. C’est l’innovation qui s’inscrit dans le respect de son environnement, pour créer de nouveaux produits et services utiles ET avec un impact limité sur nos écosystèmes.
L’innovation de rupture, c’est créer le futur de son marché, imaginer comment vont évoluer les usages et proposer des produits ou des services en rupture avec l’existant.
Une définition simple de l’innovation peut être de « mixer la crème de la crème des connaissances, les confronter sur un sujet, un marché ou un produit, afin de créer plus avec pour objectif de vouloir toujours plus satisfaire l’usager » (vs le principe de base d’une société : créer de la valeur…).
Innover en rupture, c’est penser le futur avec les moyens du présent sans oublier les usages du passé
Pour cela, l’étude sociologique des usages et de la psychologie du consommateur est indispensable avant d’envisager un développement de produit ou de service « de rupture ». L’objectif est simple : anticiper d’éventuels succès ou échecs commerciaux (et donc réduire les risques financiers).
Ce marketing prédictif, le fait d’anticiper le comportement d’achat de ses consommateurs, doit être « le graal absolu » de toute entreprise innovante.
Par exemple, pourquoi les « Google Glass » ont été un échec lors de leur lancement ? Pourquoi ce produit, véritable révolution en soi (au même titre que le smartphone), n’a-t-il pas rencontré son marché ? Simplement parce que l’usager n’était pas prêt. En 2012, nous n’étions en effet pas préparés à utiliser un objet comme celui-ci, puissant technologiquement mais susceptible de « scrapper » toute notre vie.
De plus, le réel potentiel marché se trouvait dans le milieu professionnel. Le marché de la grande consommation ne sera prêt que dans quelques années.
Pourquoi ce taux ne cesse d’augmenter ? Car il y a un désenchantement vis-à-vis de la société de consommation. Trop de produits « innovants » sont sortis, alors que les cas d’obsolescence programmée sont de plus en plus élevés, malgré les problématiques actuelles de défi climatique ou d’injustice sociale.
Aujourd’hui, technologiquement, nous faisons face à une vertigineuse accélération. Le développement technologique est accéléré par une compétitivité mondiale folle sur l’innovation, rendue possible notamment par l’émergence du digital. Aucun secteur n’est épargné par la disruption.
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Cet article a été rédigé suite à notre workshop innovation du 21 mars dernier, avec
ARTICLE D’EXPERT – Par Claire Guillou, Consultante Performance RH, chez GAC Group
Le décret fixant les modalités d’application et de calcul de l’Index égalité femmes-hommes est paru le 9 janvier 2019. Suite à un décret publié le 29 avril, l’administration se prépare à effectuer des contrôles. Découvrez nos conseils pour mieux anticiper ces contrôles.
Quelles sont les pénalités applicables ? Comment publier cet index d’égalité femmes-hommes ?
A terme, au 1er mars de chaque année, les entreprises employant au moins 50 salariés devront calculer et publier leur index d’égalité femmes-hommes. Pour en savoir plus sur les indicateurs clés ou la période de référence, consultez notre article dédié : Egalité femmes-hommes, mode d’emploi.
Le décret du 29 avril 2019 détaille les modalités de mise en demeure préalables à l’application de la pénalité financière prévue en cas de non-respect de leurs obligations par les entreprises. Ce décret annonce les premiers contrôles à venir.
Pas de surprise, puisque c’est l’une des priorités affichées de l’Inspection du travail qui prévoit d’effectuer 7 000 contrôles en 2019 dans les entreprises de plus de 1000 salariés sur le sujet des inégalités salariales.
C’est au 1er mars 2019 que les entreprises de plus de 1000 salariés devaient communiquer les résultats de l’index de l’égalité Femmes/Hommes. Les entreprises de plus petite taille disposent d’un délai supplémentaire : 1er septembre 2019 (sociétés entre 250 et 1000 salariés) ou 1er mars 2020 (effectif est compris entre 50 et 250 salariés).
Deux pénalités sont applicables.
Initialement, cette pénalité était prévue cas d’absence d’accord ou de plan d’action relatif à l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (obligatoire pour les entreprises de plus de 50 salariés).
Depuis le 1er mai 2019, le décret étend explicitement le champ d’application de cette pénalité, dont l’application pourra aussi intervenir dans les cas suivants :
La seconde pénalité, prévue par l’article L. 1142-10 du code du travail, sera appliquée en cas de note obtenue inférieure à 75 points/100 pendant trois ans. Cette pénalité ne serait donc susceptible de s’appliquer qu’à compter du 1er mars 2022.
Ces deux pénalités sont cumulatives.
Le montant de la pénalité pour non-respect de leurs obligations par les entreprises en matière d’égalité F/H est fixé au maximum à 1 % des rémunérations. Le décret a modifié l’assiette de cette pénalité en indiquant qu’elle est due pour chaque mois entier à compter du terme de la mise en demeure, et jusqu’à la réception par l’inspection du travail des justificatifs attestant que l’employeur respecte son obligation ou a régularisé la situation.
Pour les entreprises n’étant pas parvenues à atteindre les 75 points dans l’index publié en mars 2022, le montant de la pénalité sera déterminé par l’inspection du travail, et pourra aller jusqu’à 1 % des rémunérations versées au cours de l’année civile précédente.
Concernant la publication des résultats, une liste de questions/réponses disponible sur le site du ministère du travail apporte de précieuses indications :
« La note globale de l’Index doit être publiée sur le site internet de l’entreprise, lorsqu’il en existe un. Une publication sur le site Intranet de l’entreprise n’est donc pas suffisante.
La note globale pourra être publiée sur son site de présentation, il n’est pas pour autant obligatoire qu’elle figure sur la page d’accueil.
Si un groupe d’entreprises ou une UES a un seul site Internet pour toutes ses entreprises, l’ensemble des index devront être publiés sur ce site.
Si l’entreprise n’a pas de site internet propre, alors l’Index peut être publié sur le site Internet du groupe ou de l’UES, s’il en existe un.
S’il n’y a aucun site Internet, la note globale sera portée à la connaissance des salariés par tout moyen (courrier papier ou électronique, affichage…).
L’employeur devra, dans tous les cas, communiquer aux services de l’inspection du travail et au CSE, en même temps que ses résultats, le lien du site internet sur lequel est publié son Index.
Les entreprises doivent transmettre leurs indicateurs et leur note globale aux services de l’inspection du travail par le biais d’un formulaire en ligne, accessible sur le site du Ministère du travail. »
Le décret modifie par ailleurs l’article R 2242-2 du code du travail en précisant que les objectifs de progression, les actions et les indicateurs chiffrés fixés par l’accord ou le plan d’action en matière d’égalité professionnelle F/H doivent tenir compte des indicateurs de l’index de l’égalité et, le cas échéant, des mesures de correction définies en cas de résultat inférieur à 75 points / 100.
Les indicateurs relatifs aux écarts de rémunération entre les femmes et les hommes et aux actions mises en œuvre pour les supprimer devront également être intégrés dans la BDES qui sert de support aux consultations récurrentes à organiser avec le CSE.
Ce décret apporte une autre précision quant au délai laissé à l’employeur pour régulariser sa situation.
C’est l’inspecteur du travail en charge du contrôle qui déterminera le délai pour que l’employeur régularise la situation suite à la mise en demeure, ce délai ne pouvant être inférieur à 1 mois.
L’employeur devra donc très rapidement communiquer à l’inspection du travail les éléments apportant la preuve qu’il respecte bien la ou les obligations mentionnées dans la mise en demeure.
Pour ne rien manquer de l’actualité sur ce sujet, n’hésitez-pas à vous abonner à notre Newsletter RH.
Comme l’Intelligence Artificielle, le Cloud ou encore le Big Data, l’innovation de rupture et la deeptech sont victimes de leurs succès et d’une vulgarisation de leurs définitions, qu’il nous parait important de rappeler.
« Les défis auxquels sont confrontées nos sociétés marquent, par leur intensité, des transformations et des ruptures profondes. Pour y faire face, il nous faut innover, puissamment, nettement, profondément : c’est l’innovation de rupture ! » (Edouard Philippe – Mai 2018)
Une innovation de rupture (souvent opposée à l’innovation incrémentale : qui ne modifie pas radicalement l’existant) bouleverse les usages sur un marché établi et change totalement la manière de consommer les produits ou services qui existent.
Facebook est le parfait exemple : Marc Zukerberg a créé un usage totalement nouveau sur un marché existant sans révolutionner techniquement ce marché. Internet et l’usage des réseaux sociaux existaient en effet bien avant Facebook : MSN, Myspace….
Selon la BPI, la « Deeptech » qualifie des technologies de rupture, selon 4 critères précis :
« Les immenses avancées dans le traitement des données, l’intelligence artificielle, les biotechnologies, les nanotechnologies, l’informatique quantique, le stockage de l’énergie, contribuent à répondre aux défis sociétaux : transition énergétique, transports intelligents, santé pour tous, agriculture durable et lutte contre la faim…
Ainsi, la vocation de la deeptech est d’apporter directement ou indirectement une réponse à ces enjeux majeurs pour la planète et traduit une grande opportunité de progrès »
Enfin, l’invention est le fait de découvrir quelque chose de totalement nouveau « pour le meilleur et pour le pire » (le téléphone vs la bombe nucléaire…).
Lorsque Nikola Tesla invente de nouvelles méthodes pour faire converger l’énergie via le courant électrique, c’est une véritable invention qui va donner lieu ensuite à de multiples innovation, notamment de rupture. L’invention part d’un principe humaniste et s’apparente souvent à une découverte, à la fameuse « sérendipité » !
Quand Mikhail Kalachnikov invente son fusil d’assaut le plus populaire, le robuste mais surtout le plus meurtrier au monde, c’est une innovation de rupture. L’innovation de rupture part d’un constat, d’un cahier des charges.
Pour revenir à l’exemple de l’AK 47, c’est une armée qui a été créée pour répondre au besoin de supériorité technique de l’armée Allemande :
« Ce sont les Allemands qui sont coupables du fait que je suis devenu un fabricant d’armes. Sinon, j’aurais construit des machines agricoles. […] Si on me demande comment je peux dormir calmement sachant que mes armes ont tué des millions de gens, je réponds que je n’ai aucun problème de sommeil, ma conscience est nette. J’ai construit des armes pour défendre ma patrie »
Dans les articles suivants, nous allons nous intéresser plus précisément à l’innovation de rupture. Celle qui, au-delà de la technologie produit, va « disrupter » son marché, ses process, son marketing, ses modes de financements et de management !
Pour découvrir comment aligner vos capacités d’innovation et votre stratégie, inscrivez-vous à notre webinar “Diagnostic Innovation” le 13 juin.
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Cet article a été rédigé suite à notre workshop innovation du 21 mars dernier, avec
Suite à la récente réforme de la procédure d’instruction des AT/MP (Accidents de travail et Maladies Professionnelles), GAC Group vous invite à un webinar :
« Réforme de la procédure d’instruction AT/MP »
le jeudi 6 juin 2019 à 11h30
Vous gérez régulièrement des déclarations d’accident de travail et maladie professionnelle dans votre entreprise ?
Savez-vous qu’un décret réformant l’instruction des accidents du travail et maladies professionnelles (AT/MP) a été publié au Journal Officiel le 25 avril 2019 ? Il instaure de nouveaux délais dans la procédure de reconnaissance des AT/MP à compter du 1er décembre 2019. Ces nouveaux délais doivent susciter une vigilance particulièrement accrue de votre part.
Nos experts en Performance RH vous proposent de commenter cette nouvelle procédure et d’échanger avec vous sur l’importance de gérer et piloter en temps réel votre sinistralité au cours d’un webinar le 6 juin 2019 à 11h30.
Pour faciliter la gestion quotidienne de votre sinistralité, GAC vous propose la solution AT ADVANCE, plateforme moderne, ergonomique, simple d’utilisation, avec un accès sécurisé et fiable.
AT ADVANCE vous permet :
Découvrez notre plateforme en vidéo.
Jeudi 6 juin 2019 à 11h30
> Vous recevrez le lien de connexion au webinar quelques jours avant.
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ARTICLE D’EXPERT – Par Asuncion Roxan Salmeron, Consultante Performance RH, chez GAC Group
Inscrite dans la loi de sécurisation de l’emploi, entrée en vigueur le 14 juin 2013 sous l’appellation « base de données économiques et sociales » (BDES), la BDES est devenue un outil de dialogue avec le comité social et économique (CSE) pour les entreprises qui emploient au minimum 50 salariés.
Quelles sont les nouveautés en 2019 ?
L’article L. 2312-18 du Code du travail la définit comme :
« l’ensemble des informations nécessaires aux consultations et informations récurrentes que l’employeur met à disposition du comité social et économique ».
Depuis le 31 décembre 2016, la BDES se substitue à tous les outils de communication de données sociales et économiques existants. L’objectif est de rassembler les informations sur les grandes orientations économiques et sociales de l’entreprise. La base de données économiques et sociales comprend des mentions obligatoires qui varient selon l’effectif de l’entreprise (plus ou moins 300 salariés).
La référence de l’effectif employé est appliquée au sens de l’entreprise et non pas par établissement. La BDES comprend ainsi toutes les données collectées au niveau de l’entreprise.
Il existe un cas particulier pour les groupes d’entreprises. En effet, les groupes ne sont pas tenus de créer une base de données unique spécifique au groupe. Si toutefois cette base est créée, il conviendra d’ajouter cette dernière à la BDES de chaque entreprise du groupe.
Les informations portent sur :
Il est possible de définir une autre période par le biais d’un accord.
L’absence de BDES entraîne un délit d’entrave et est passible d’une amende de 7 500 €.
L’employeur doit concevoir, mettre en place et maintenir à jour la BDES. Il en fixe les conditions d’accès, de consultation, d’utilisation et d’actualisation. Ces conditions peuvent faire l’objet d’un accord collectif.
La BDES doit être accessible en permanence au comité social et économique (CSE) ou aux anciennes institutions représentatives : comité d’entreprise (CE) ou délégués du personnel (DP, du comité central d’entreprise, CHSCT, délégués syndicaux ou délégation unique du personnel) sur un support informatique ou papier.
Ces derniers doivent respecter une obligation de discrétion. Toutes les informations contenues dans la BDES présentées par l’employeur comme ayant un caractère confidentiel doivent avoir une durée de confidentialité.
En cas de BDES incomplète ou non mise à jour, le CSE ou les anciennes institutions représentatives peuvent saisir le tribunal de grande instance (TGI) pour qu’il ordonne à l’employeur la communication des éléments manquants.
L’employeur doit mettre à disposition des élus :
L’employeur va devoir intégrer des informations sur la méthodologie et le contenu des nouveaux indicateurs relatifs aux écarts de rémunération entre les femmes et les hommes. Cette obligation ne concerne que les entreprises employant plus de 250 salariés. Elle ne s’appliquera qu’en 2020 pour celles employant entre 50 et 250 salariés.
Vous souhaitez que GAC vous accompagne dans la réalisation de vos BDES ? Découvrez notre outil de pilotage des données RH et automatisation de vos rapports sociaux (BDES, égalité F/H…) à partir de vos DSN !
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